mardi 22 septembre 2009

Jour 23-24: Le retour, la vraie fin et l'énigme résolue






On a effectivement couché chez Ma Tante Esther. La pizza chez Loulou Pizza est vraiment la meilleure de St-François. On est allé chercher le banc au camp car je dois y peindre ma contribution personnelle (ne cherchez pas, je vous expliquerai un jour). Au départ, un pneu est à terre, le même qu’on a changé à Ingonish. Peine perdue pour le souffler, l’air s’échappe à mesure. Cela m’a pris une heure pour changer le ((%?)()_&&(* de pneu! Le pire, c’est que le lendemain, au garage, on m’a annoncé que mon beau pneu tout neuf n’était pas réparable. On est donc revenu avec 3 roues de 16 pouces et une de 14 pouce ! Au moins le cardan s'est tenu tranquille les 2 derniers jours.
Tweety va avoir besoin d’un bon lavage car il a plu tout le long de cette dernière journée. Grisou ne perd pas son tour non plus mais lui n’entre pas dans la laveuse.

Pensées de voyage et solution de l’énigme de l’autobus:
Après 21 jours de voyages et près de 4041 miles de parcouru, voici quelques impressions :

En ligne droite, la Nouvelle-Écosse est une très petite province mais, comme les routes droites n’y existent pas, il faut 3 jours pour la traverser d’est en ouest! Un village distant de 30 kilomètres, à une vitesse de 60 km\h ne sera pas atteint en 30 minutes!

Les Néo-Écossais consomment une quantité phénoménale de café Tim Horton si on en juge par la quantité de restaurant existant. Par contre, ils ont la vilaine habitude de lancer leur gobelet vide par la fenêtre. C’est le déchet numéro 1 que l’on voit sur les accotements. Si on avait eu 5 cents par gobelet, on aurait payé l’essence du voyage sans problème.

La Nouvelle-Écosse est vraiment une province d’eau. Si vous ne voyez pas la mer, vous êtes sûrement à coté d’un lac.

Lorsque l’on voyage en septembre, on vit plus à l’intérieur de Grisou que dehors. Les soupers se prennent au chaud soit dans la tente cuisine, soit dans notre West, rarement sur la table à pique-nique. Aussitôt que le soleil disparait à l’horizon, ce sont les chandails qui font leur apparition.

Les Néo-Écossais ne sont pas des gens frileux. Même à des températures de 10 Celcius, on en voit beaucoup tondre leur pelouse en culottes courtes, les femmes étendent leur linge en petit chandail à manches courtes. Les étudiants (surtout les étudiantes) font leur jogging comme en plein été. Pour ma part, je porte les deux chandails achetés chez Guy’s l’un par-dessus l’autre et je m’en porte fort bien, Sylvie itou!

Inutile d’apporter vos vélos. A part le Cap Breton et, uniquement parce qu’il représente un défi, vous n’aurez pas d’accotement, la plupart des routes sont maganées et vous aurez tout le temps un vent de face quelle que soit votre direction. Nos vélos n’ont pas touché terre de tout le voyage. J’ai quand même un pneu crevé sur mon vélo.

Pour Noel, je vais acheter un casque protecteur pour Sylvie. J’hésite encore, vélo, construction ou alpinisme. Qu’importe, au moins cela va la protéger de Grisou qui ne cesse de la frapper sur la tête!

Les ratons-laveurs sont des imbéciles qui n’ont pas appris à regarder des deux cotés de la route avant de traverser. Sinon, comment expliquer le nombre ahurissant de carcasses qui jonchent la route.

Les Néo-Écossais manquent d’imagination quand vient le temps de nommer un village comme en font fois : Weymouth, Weymouth Falls, Weymouth North et Weymouth Mills puis Gillis Cove, Gillis Lake, Gillis Point, Gillis Point East (eh oui) et Gillisdale. Remarquez que certains endroits au Québec ne valent pas mieux!

Coté bilan faunique; 2 orignales, 2 ours, plusieurs aigles chauves, 1 chevreuil et 1 coyote. Les décédés le long de la route ne comptent pas.

20 pleins d’essence. Une moyenne de 19,7 millles par gallon payé, en moyenne $1,02, le prix le plus bas apercu, St-Léonard au NB à 86,6 cents et dire que le réservoir était plein!

Le prochain voyage devrait être notre fuite hivernale en Floride avec un départ prévu pour le 4 avril 2010. Pour ce qui est du Canada, il nous reste maintenant à préparer notre voyage vers Terre-Neuve probablement en 2011.


Et l’autobus???? Le morceau bleu que vous apercevez par la fenêtre est une veste de sauvetage. Tous les passagers (écoliers) ainsi que le conducteur doivent en porter une tout au long de la traversée. Assez rigolo de voir toutes ces vestes revolées dans l’autobus dès que l’autobus revient sur terre.

dimanche 20 septembre 2009

Jour 22: Dimanche 20 septembre 2009 Bassin Minas, fin :






Lever sous un ciel gris, c’est le déjeuner au restaurant qui nous attend. Malheureusement, on ne trouvera que le Tim Horton pour nous contenter. Heureusement qu’il n’était pas encore 11h00!
On reprend la 209 avec un cardan qui claque de plus en plus, on envisage fortement la possibilité de devoir se trouver un ti-coin tranquille pour effectuer la réparation. Sylvie a une idée; allons au Cape d’Or, je pourrai réparer pendant qu’elle se promènera dans les sentiers.
Nous n’avions pas prévu le 4,8 km de route en terre battue qui grimpe assez raide merci! Ni la surface de planche à laver qui allait replacer le cardan, du moins pour la journée. On a donc randonné tous les deux sous un vent à écorner un orignal. A cet endroit, le cape d’Or et le Cape Split forment des entraves au flot de la marée de la Baie de Fundy. Résultat? Trois courants s’y rencontrent et s’y affrontent dans la plus grosse machine à laver du monde.
A toutes les marées (6 heures et 25 minutes), le débit des marées atteint 8 km cubes d’eau ce qui est supérieur au débit de toutes les rivières du monde RÉUNIES ! Dur à croire mais c’est ça qui était écrit, je ne fais que relater. En poids, chaque marée représente 10 milliards de tonnes d’eau.
Champlain a nommé cet endroit Cap d’Or. En fait, ce sont des filons de cuivre presque pur qui effleure le long des falaises. Après Jacques Cartier et son Cap Diamant de Québec, on se rend bien compte que nos marins français avaient poché leur géologie 101 !
En rebroussant chemin, tout en descendant la fameuse pente qui est aussi raide en descendant qu’en montant, on apercoit une grosse boule noire qui court dans le chemin, ciel un ours ! Mais non, la grosse boule noire se divise en deux, ciel deux ours !! Bien entendu, on a jamais eu le temps de sortir la caméra mais croyez-nous sur parole.
Autre arrêt pour le dernier cap du Minas Channel, le Cape Chignecto où nous nous contentons d’effectuer une courte marche sur la plage car la marée monte. D’ailleurs, Sylvie en reviendra les chaussures mouillés.
Notre dernier arrêt est pour le Site des fossiles de Joggins, le plus riche au monde en ce qui concerne la période du charbon. Malheureusement, pour se promener sur la plage et explorer les falaises full-fossiles, il nous aurait fallu des habits de plongée car la marée est à son maximum.
On repasse par la ville d’Amherst que l’on arpente un peu à pied avant de quitter définitivement la Nouvelle-Écosse à 16h30 tapant.
Pour coucher, nous avons trouvé un camping-golf, le Stonehurst Family Campground, sortie 450 de l’autoroute, suivez les indications! Pas besoin de sous pour les douches! $30 pour les full hook-ups qu’on a pris because ils sont en plein soleil. En prime, le Wi-Fi 4 étoiles haute-vitesse.
J’ai réussi à attirer un peu de faune ailée sur le terrain en donnant du pain à deux canards observant Sylvie en train de faire la vaisselle. Au final, c’est plus de 30 canards qui accourent et là, on a des photos!
On reviendra probablement par le Lac Baker visiter les matantes et nous devrions être à la maison mardi soir.

Jour 21: Samedi 19 septembre 2009 Bassin Minas, jour 2 :






Eh bien, les haubans ont tenu le coup, la tente-cuisine est toujours là! Debout dès 08h00, je commence déjà à ranger un peu pour le départ à 10h00.
Il est maintenant temps d’aller rencontrer Évangéline et Gabriel au site national des Acadiens. L’histoire est bien relatée, on n’y blâme ni les acadiens, ni les anglais. Les susceptibilités demeurent intactes. L’une des préposés croient me reconnaître, elle se rappelle sans doute du passage de mon père et elle est bien déçu d’apprendre que nous n’avons aucun ancêtre acadien. Au mieux, on pourra lui dire que c’est le grand-oncle de Sylvie, Pamphile LeMay, qui a traduit le roman de Longfellow. Également, nous sommes probablement des rares personnes à avoir également visiter le site d’Évangéline situé à St-Martinville en Louisianne, c’était en 2002.
Parlant de Longfellow, sachez que le monsieur n’a jamais mis les pieds à Grand Pré, possiblement même jamais en Acadie et que tout son roman fut écrit à Cambridge Mass. en se basant uniquement sur des écrits concernant la déportation.
La journée est très venteuse, très grise et assez frisquette avec un maximum de 12 Celcius. On entreprend le tour du Bassin Minas. On a appris que Minas vient de Mines, Champlain ayant tenté d’y exploiter une mine de cuivre. Le circuit est quelconque, points de vues, paysage agricole, quelques belles maisons (encore!), et quelques phares. Les phares ne sont jamais très imposants car ils étaient destinés à la circulation dans le bassin donc, pas besoin d’être visibles à une très grande distance. Découverte majeure aux Parc des Cinq Isles, ils ont aussi un Rocher Percé.
Au fur et à mesure que la journée avance, le soleil est de plus en plus présent. Il devrait rester avec nous pour la fin de notre voyage.
On termine la journée au Campground Glooscap situé à Parrsboro, juste en face du Split Cape où nous sommes allés hier. Le camping n’a que 2 étoiles mais le terrain 8 nous permet de voir le soleil se coucher drette dans le windshield de Grisou. Avec les nuages qui sont présents, c’est tout un spectacle auquel nous avons droit. Vive la photo numérique même si ça ne rend pas toutes les couleurs.

samedi 19 septembre 2009

Jour 20: Vendredi 18 septembre 2009 Bassin Minas :






Pour nous situer sur la carte : Le Bassin est la grande étendue d'eau juste en haut de Grandpré et Wolfeville.
La bonne nouvelle; il n’a pas plu! La mauvaise; il ne reste que 3 tranches de pain pour déjeuner ce qui fait qu’il va falloir aller déjeuner au resto ce qui, en fait, est une bonne nouvelle mais; on arrive au Tim Horton à 10h50, il y a un line-up jusqu’à la porte, ça prend 10 minutes pour arriver à la caissière qui nous annonce qu’ils ne servent plus de déjeuner passé 11h00. Le plus beau, c’est que j’ai même pas le goût de m’obstiner avec elle!
On se déniche un petit resto, bizarre où sont les saucisses et le bacon sur le menu ? Vé quoi ? Végé comment ? Ah bon! Végétarien! Ca va faire pareil et ce fut très bon.
On part explorer la Split Point et le Parc Provincial de Blomidon. Pour accéder à la Pointe, la route est en construction. Il a fallu attendre un gros quart d’heure bloqué en première position sur un pont. Des impatients klaxonnaient d’impatience, bon enfin, c’est redondant mais c’est ça! Le bon coté c’est que, lorsque ça débloque, on part en tête avec un gros camion derrière qui retient tous les autres!
On s’arrête au Look Off, tout en haut, incroyable comme le paysage en est un de terres agricoles contrairement à toutes ces anses maritimes depuis le début de notre voyage. On monte tout en haut des North Mountain situées, vous l’avez deviné, tout au nord de la Pointe. La marée est haute et le vent moutonne le dessus de l’eau. Pour revenir, on prend une petite route toute croche en garnotte mais cette fois ci c’est correct, rappelez-vous Glenora Falls, car c’est Sylvie qui a décidé de l’itinéraire.
Au Parc Blomidon, on a débuté le sentier qui monte qui monte et qui monte encore. J’ai abandonné lorsque le sentier pénêtre dans la forêt, ça fera l’escalade, si j’en ai envie, j’irai faire l’Everest! On est donc descendu jusqu’à la plage où la marée est en train d’en faire autant. On en profite pour enrichir notre collection de sable et de roche! Je pense que c’est ici que le sable est le plus rouge à date. Il a fallu enjamber un gros buisson sur la plage en venant car ça ne passait pas. A notre retour, 10 minutes plus tard, il y avait une dizaine de pieds de plage à découvert entre le buisson et l’eau.
Il y a un gros avion de l’armée qui tourne en rond au dessus du bassin. Il y a aussi des signaux fumigènes sur l’eau et on peut voir une camionnette des garde-côtes pas loin. Exercice, simulation ou sauvetage réel? La question demeure.
Bien entendu, on a effectué un détour pour revenir question d’éviter les travaux routiers. On est passé par un village qui s’appelle Canard !
On arrête à New Minas, le Centre d’achat de la Vallée d’Annapolis. Il y a un traffic fou, c’est vendredi et toute la vallée vient faire son épicerie en même temps, nous aussi! Si vous avez bien suivi, hier, on a parlé de steaks!
Au retour, nous arrêtons au Muir Winery Estate, suggestion de la cousine Andrée. C’est vraiment vide de monde en fait, on est tout seul. On déguste et on repart avec un Baco noir, pour les steaks, et un Seyval pour …pour?...et puis ça prends tu vraiment une raison ? A la bonne vôtre!
17h00,il était temps que l’on retourne au camping car la tente cuisine se fait vraiment barouetter dans tous les sens par les coups de vent. Les pattes sont sorties de leurs arceaux, les ganses de côté ont même déchirés, c’est une grosse montgolfière verte et jaune qui cherche à prendre son envol. Vite, vite, les piquets et la hache qu’on fixe les haubans. Est-ce que ça tiendra le coup ? La réponse demain.
En attendant, la pluie de ce matin vient juste d’arriver ce qui a pour effet de calmer un peu le vent. On est donc bien à l’abri! Le souper est extra, un gros T-Bone et des filets mignons avec du mais en crème, des patates et de la salade. Comme dessert, un beau gâteau d’anniversaire avec des chandelles. Quelle belle vie !

vendredi 18 septembre 2009

Jour 19: Jeudi 17 septembre 2009 Évangéline Trail :




C’est ma Fête, rien de vraiment extraordinaire, toute le monde en a une au moins une fois par année. Par contre j’ai eu droit à du Cheez Whiz original ce matin au lieu de celui Choix du Président!
On se lève de plus en plus tard, histoire que le soleil réchauffe l’habitacle de Grisou et nous réchauffe également. Les nuits sont de plus en plus froides, il faut penser à débrancher le frigo dehors sinon tout est gelé au matin. Le Pierrôt dort encore dans le grenier mais il ouvre les fenêtres beaucoup moins grand. Les feuilles commencent à changer de couleur, preuve que, veut, veut pas, l’automne s’en vient.
C’est la route des acadiens qu’on emprunte aujourd’hui, de Pointe-de-l’Église à Grand Pré, pays d’Évangéline.
On choisit la route 1 au lieu de l’autoroute et on en profite pour arrêter chez Guy’s Frenchies. Un réseau de boutique de vêtements usagés. En Nouvelle-Écosse, ce type de boutique se trouve partout, il paraît, selon la cousine Andrée, que le Guy’s est le meilleur. Effectivement, on en ressort avec un veston rouge pour Sylvie et deux chandails chauds pour Pierrôt. En prime, un beau gros Tweety Bird qui voyage maintenant avec les sacs à bagages sur le toît.
Je sais que je me répètes mais il a fallu se faire une raison et cesser de photographier toutes les belles maisons le long de notre route, nous ne serions de retour qu’après Noel! Le comble est atteint à Bridgetown et Wolfville. Pour tous les amoureux du style Cape Cod, le voyage ici en vaut la peine.

Nous sommes maintenant dans la Vallée de l’Annapolis etiIl y a des vergers le long du chemin. On ne compte plus le nombre de marchés de fruits-légumes. Nous y sommes d’ailleurs arrêtés faire quelques provisions dont un pot de miel à bas prix. Les ruches du Québec et du Nouveau-Brunswick sont frappés d’une étrange maladie qui fait que les abeilles ne retrouvent plus leur chemin, une sorte d’alzeimher de l’abeille! Résultat : Cette année, ils ont manqué de ruches au Lac St-Jean pour polleniser les champs de bleuets. Je crois bien que 75% des ruches sont perdues et c’est pourquoi le pot de miel Québécois atteint des prix de $10 à certains endroits. En Nouvelle-Écosse, il est interdit de traverser la frontière provinciale avec des abeilles et, à date, ils ont été exempté de la maladie.
Parlant maladie, notre Grisou montre de plus en plus des signes de fatigue au niveau du cardan, le toc-toc se fait entendre de plus en plus souvent et de plus en plus fort. On verra demain. En fait, j’ai remis à plus tard toutes les réparations; filtre à essence, cardan et relais de batterie. A date, on survit!
Le terrain de camping est celui situé à Grand Pré. Il se donne des airs de famille d’Évangéline et ne sont même pas capable de t’acceuillir en français! Pas de Wi-Fi, pas de dump station, des terrains collés à la queue leu leu, des douches payantes et on se permet de t’arracher $35 pour une nuit. C’est pas d’hier qu’on se fait exploiter par les anglais dans ce pays, je souhaiterais quasiment me faire déporter! On devrait rebaptiser le camping; Camping de Grand Prix!
On devait acheter des steaks pour mon souper de fête mais on a oublié. On a aussi oublié d’acheter du papier de toilette et je pense que c’est encore plus grave que les steaks. Version de rechange : bœuf haché et scott towels! Une chance, on aurait manqué de sous pour payer le camping!
Pour le Wi-Fi, on a réussi à se connecter sur l’un des chalets en bordure de la baie, assis sur les marches d’un restaurant abandonné, c’est mieux que rien.
L’eau est à marée basse présentement, c’est la berge boueuse à perte de vue, elle devrait être haute vers minuit, basse demain matin et haute vers midi. En prenant plusieurs photos, on verra la différence.
Le soleil s’est encore couché dans un flamboiement de tons jaunes, or et rouges. La caméra en a cliqueté un coup! On fera le ménage des photos plus tard.
Prévisions météo : Possibilité de pluie cette nuit et une autre belle semaine par la suite.

Trouvez l'erreur !


On roulait tranquillement sur la route 1 soudain...un éclair jaune et ...PAF, on frappe quelque chose.

Vite, on range Grisou sur l'accotement et on inspecte le pare-brise, rien de brisé. La grille du radiateur ? Rien non plus. Le pare-choc ? Nenni. Rien pantoute, je suis pourtant sûr qu'on a frappé quelque chose !

Énigme de l'autobus

Y'en a qui cogite un peu trop!
Ma soeurette Rachelle a trouvé un des indices soit le bleu à l'intérieur de l'autobus. Un dernier effort, vous allez rire !